D'un petit jouet à peine visible, (sorti d'un petit oeuf jaune,

lui-même sorti d'un oeuf en chocolat) le spectacle raconte

un combat contre... le vide. Ce n'est pas l'oeuf l'important, c'est le neuf,

le nouveau, la surprise.

Mais le plaisir ne dure pas longtemps. Le neuf devient vieux en moins de deux.

La coquille une fois vide ne se remplit pas.

L'objet qui en sort, une fois découvert, est banal, presque mort.

Vite ! Un autre oeuf ! Un tout neuf ! Les coquilles s'amoncellent, et les objets aussi : minuscules, ridicules.

Tout à coup il y a l'ennui et puis... les rêves reviennent. 

Spectacle de : Natalie Gallard et Marie Gaultier

Jeu : Marie Gaultier

Son : Arnaud Coutancier  

Lumières : Natalie Gallard

 
Avec le soutien de la Région des Pays de la Loire, le Conseil Général de Maine et Loire et la Ville d'Angers

Ce sont nos parents, nos grands-parents, nos amis, nos voisins et puis un jour, c'est nous ! 

On n'a rien vu venir est un voyage dans le grand âge à la rencontre d'hommes et de femmes, vieux et vieilles, dans leur fragile humanité. 

Avec tendresse et humour, les deux comédiennes égrènent les mots pour dire le temps qui passe, les souvenirs, ce qu'il en reste, le corps qui lâche, la mémoire qui se fait la malle, le besoin d'amour malgré tout et la sagesse peut-être au bout du chemin... 

Avec des textes de Franz Bartelt, Bernard Pivot, Catherine Leblanc, Daniel Keene...

Mise en voix : Elisabeth PAUL

Interprétation : Cathy MAZELIE et Frédérique LE NAOUR  Création lumière : Manon Le Boucher

Nouvelles de Stig Dagerman mises en voix et en musique.

Le public tire au sort une œuvre issue du répertoire de Stig Dagerman. Accompagné musicalement par le guitariste Jean Gros, Nicolas Berthoux vous invite à la rêverie sur une sélection de nouvelles d’anticipation ou à versant plus psychologique, de l'auteur suédois.

Comédien : Nicolas Berthoux

Musicien : Jean Gros

Régie son : Guillaume Barré

Promenade chorégraphique faite de perversions champêtres, de robe au chou et de soupe de bal, de lapins sanguinolents sur le champ de bataille et de chuchotements qui invitent au recueillement. Sur la toile de l’artiste, l’araignée tisse sa toile. Le monstre n’est pas celui qu’on croit, l’assassin est assassiné, et la bête s’éprend de la belle. 

Dans la Théorie des Contraires, le corps en mouvement explore une société à la dérive où les rôles sont inversés, les références tronquées et les paradigmes changés.

Parce que les monstres ne limitent pas la violence de leur être aux stéréotypes et aux apparences externes, même le masque le plus grotesque ne pourra jamais définir l’essence de personne.

Chorégraphie, costumes et interprétation | Telma Jesus Pereira

Mise en scène, marionnettes et interprétation | Sylvain Peker